Ville d'Hennebont
Située sur le Blavet, fleuve qui termine son parcours dans la rade de Lorient, Hennebont est une cité fluviale et historique, comme en témoignent les tours de la porte Broerec’h (15ème siècle) et la basilique Notre Dame du Paradis, de style gothique flamboyant, dont les vitraux retracent l’histoire de la ville.
Une promenade dans la ville close permet de découvrir les belles demeures des 15ème et 16ème siècles et notamment la Maison Sénéchal, construction à pans de bois.
Les amoureux de la nature pourront se régaler en arpentant le chemin de halage à pied ou à vélo ou en navigant sur le Blavet afin de découvrir la faune et la flore.
Labellisée 3 Fleurs, la commune offre un espace propice à la détente et la promenade en plein centre ville avec le parc du Kerbihan, qui possède de nombreuses espèces botaniques, notamment des bambouseraies.
Le petit + : Découvrez la ville en calèche, différents circuits sont proposés .
A 10 km de Lorient, 25 km de Quimperlé et 32 km de Carnac
Nombre d'habitants : 15891
Département : Morbihan
Distinction : 3 fleurs
Les parcs, jardins et loisirs de nature dans la commune
Parc Botanique de Kerbihan
A l’Est, on entre dans le parc de Kerbihan par la maison de M. Chevassu. Cet ancien horloger jurassien, condamné au bagne à Belle-Île pour avoir fomenté un complot contre Napoléon III, s’établit à Hennebont à sa libération en 1885. Après avoir fait fortune et passionné de botanique, il entreprend de créer un arboretum autour de sa maison où voisinent, entre autres, tulipiers de Virginie, Séquoias géants et cyprès chauves. Ces vestiges vivants côtoient d’autres espèces plus récentes, originales ou rares par leurs formes, comme le Pin des Bouddhistes ou le cèdre bleu pleureur de l’Atlas. Devenu propriété communale en 1958, ce parc est un des lieux de promenade incontournables d’Hennebont.
Parc du Haras
Le parc des Haras, véritable poumon vert, est né de la fusion de l’ancien enclos de l’abbaye Notre-Dame-de-Joye et des terrains où se situent aujourd’hui les écuries. Des négociants lorientais, les Laurent, achètent vers 1840 l’ancien logis abbatial et font aménager le parc, y plantant de nombreuses essences que l’on peut découvrir encore aujourd’hui. La zone de la bergerie et des granges, rappels de la présence de l’abbaye, ouvrent sur le chemin de halage et sur le bois du Talhouët.