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LA GRANDE MOTTE



La Grande Motte, la ville-jardin utopique et unique.

Une ville utopique

Construite dans les années 60 par le philosophe et architecte Jean Balladur, La Grande-Motte est célèbre pour son architecture unique, récompensée en 2010 par le label Patrimoine du XXè siècle. Ses immeubles, inspirés des pyramides Mayas, laissent une grande place à la nature omniprésente, dans ce projet architectural. La Grande Motte est constituée à 70% d?espaces verts et naturels : jardins, palmiers, massifs fleuris? L?engagement de la ville en faveur du développement durable et la qualité du fleurissement lui ont permis d?obtenir la 3ème Fleur du label Villes et Villages Fleuris. Cette station balnéaire située sur les rives de la Méditerranée vaut le détour.



Une oasis émergeant du sable

Dans les années 70, les plages du littoral héraultais sont désertes. Les salicornes et les oyats sont les seules plantes qui survivent dans les dunes érodées par les embruns salés. Les étangs de l?Or et du Ponant ne sont alors que de maigres pâturages destinés aux taureaux camarguais. Pourtant, Jean Balladur et son paysagiste en chef, Pierre Pillet, désirent recréer pour leur ville idéale un jardin d?Eden verdoyant, une oasis dans ce monde minéral. Ils imaginent alors une cité végétale et prennent le parti de n?utiliser que des espèces végétales régionales, habituées aux embruns et aux conditions de vie un peu rudes. Ce sont les essences méditerranéennes types, pins pignons et platanes, lavande, thym, laurier, romarin et pittosporum, tamaris et oliviers de bohème... Les plantations ont ici une double fonction : d?une part, elles constituent des promenades ou des places ombragées le long des avenues ainsi que le long des cheminements piétonniers et dans les parkings publics. D?autre part, elles donnent aux espaces publics et privés, l?ordre et l?unité, par l?utilisation d?espèces fermes dans leur port et leur maintien.

 

Une déambulation douce

La circulation à La Grande Motte fait la part belle aux piétons et aux cyclistes. Jean Balladur crée une «cité durable» avant l?heure. Ce sont près de 25 km de voies «douces» qui sont aménagées intra-muros. En s?inspirant de la ville de Chandigarh en Inde, Jean Balladur conçoit La Grande Motte comme une ville jardin où 70% de l?emprise urbaine est dédiée aux espaces verts et arborés. Le mode de circulation à La Grande Motte est avant-gardiste à plus d?un titre et confère à la ville sa qualité de vie inimitable. Jean Balladur prend le parti, à la toute fin des années 1960 et alors que la voiture est reine en France, de favoriser la déambulation douce dans son projet de ville balnéaire.

 

Il aménage, entre autres, 6 passerelles permettant de relier les quartiers entre eux, ou fait le choix de ne pas mettre de route motorisée entre la plage et la promenade du front de mer. Nord du projet de ville, à distance du bord de mer, à l?abri des embruns. La présence du règne végétal serait incomplète si elle avait été cantonnée aux zones d?habitat collectif et individuel. Une vingtaine d?hectares a été aménagée à l?entrée de La Grande Motte et procure à l?arrivant l?impression d?un paysage très ouvert fait d?étangs, de landes et de vignes, offrant un environnement frais et aéré telle une oasis dans le désert. Des plaines de jeux d?une trentaine d?hectares chacune, à l?Est et à l?Ouest, sont plantées de pins pignons et se raccordent avec des sites naturels boisés comme le bois du Boucanet et l?étang du Ponant à l?Est ou des sites reboisés en pins sur le Grand Travers à l?Ouest.

 

Le saviez-vous ?

Les pyramides construites au centre-ville ont également un rôle à jouer dans la maîtrise des vents dominants que sont la Tramontane, le vent Marin et le Mistral. Les bâtiments sont implantés par l?architecte à la bissectrice de ces vents qui sont «peignés» (freinés) et sont donc moins agressifs pour la végétation. Lorsque le marin apporte des embruns, le sel est lui capté par ces mêmes bâtiments qui jouent donc un rôle de «collecteurs» (près de 4 kilos de sel par mètre carré par an).

 

Nombre d'habitants : 8755
Département : Hérault
Distinction : 3 fleurs
Les parcs, jardins et loisirs de nature dans la commune

Des espaces naturels omniprésents
Une rose pour La Grande Motte
Dans le cadre de sa marque LGM by, La Grande Motte a créé une rose avec l’horticulteur Meillan. Après avoir travaillé avec de nombreux designers et photographes, La Grande Motte donne la parole à ce rosiériste. Une fois encore la ville inspire les artistes. Cette fleur sera visible dans les jardins publics et privés.
 
Un parcours botanique caché au cœur du quartier de Haute Plage
Au cœur de la ville se cachent de nombreuses sentes piétonnes bien connues des Grand-Mottois. Dans le cadre d’un projet pédagogique en partenariat avec l’association des écologistes de l’Euzière, les élèves du collège local ont participé à deux journées de replantation de la végétation. De nombreuses essences typiquement méditerranéennes ont donc été implantées. Un circuit de découverte de ces différentes variétés d’arbres, est ainsi créé dans le quartier des villas. Dorénavant, tout le monde peut avoir accès facilement à ces espaces végétalisés. Un bel outil de communication dans notre démarche de sensibilisation à la gestion de l’environnement, à l’écologie et à la protection des espèces méditerranéennes.
 
Un rucher pour protéger les abeilles
Un espace naturel : la presqu’île du Ponant
Le rucher pédagogique de La Grande Motte créé en 2016 par l’Office du Tourisme, s’inscrit dans la démarche environnementale de développement durable que la ville a amorcée en abandonnant totalement, dans la gestion des espaces verts, l’utilisation des pesticides. Le rucher est installé sur la presqu’île du Ponant. Dans ce site préservé, à la végétation riche et abondante, les abeilles trouvent un cadre favorable et adapté. Les nombreuses floraisons qui s’y succèdent (acacias, chardons, tamaris, fleurs sauvages, ...) assurent le développement harmonieux de nos colonies, luttant ainsi contre la mortalité anormale qui les menace depuis quelques années en France et en Europe et bénéficient d’une pollinisation optimale. Pour cela, deux apiculteurs bénévoles apportent au rucher depuis deux ans une attention particulière et des soins réguliers, portant ainsi le « cheptel » de quatre à huit ruches. Ils transmettent leur passion en assurant également les visites guidées. L’installation d’un tunnel protégé a permis au public d’accéder au plus près des ruches sans risque et d’en découvrir les joies et les enjeux avec facilité. Cette logique de tourisme durable s’applique à l’ensemble de la biodiversité des rivages maritimes et lacustres et intègre la nécessité d’un comportement responsable. Les récoltes saisonnières de miel, vendues à la boutique de l’Office de Tourisme, permettent de faire découvrir et apprécier les produits de la ruche et leurs bienfaits.
 

Etangs lagunaires
Les lagunes, encore appelées étangs dans la région, sont des lieux de transition entre terre et mer, entre eau douce et salée. Elles comptent parmi les milieux littoraux les plus caractéristiques du Golfe du Lion. Elles ont en général une forte productivité biologique, raison pour laquelle une pêche artisanale, respectueuse des équilibres de l’environnement, y persiste de nos jours. Ce sont aussi des milieux variables (salinité et température changent considérablement selon les saisons), qui abritent des espèces particulières : muges, anguilles, gobies, blennies paons ou poissons- aiguilles sont adaptés à cette variabilité.
 
Digues : Support de biodiversité
Si les digues sont d’abord des ouvrages conçus pour protéger les ports ou « fixer » le sable des plages, elles fournissent aussi supports et abris aux organismes marins : un rôle positif pour la biodiversité. Les enrochements sont des supports pour toutes sortes d’algues qui, à leur tour, procurent des cachettes aux poissons (daurades, loups ou sars) et une nourriture aux animaux végétariens, au premier rang desquels les oursins. Avec un, simple masque, vous pouvez découvrir les innombrables alevins qui habitent cette véritable nurserie sous-marine.
 
Bancs rocheux
Stabilité dans un monde mouvant au milieu des vastes étendues de fonds meubles du Golfe du Lion, les secteurs rocheux sont des oasis de vie et de diversité. Leur principale qualité, c’est de ne pas bouger ! Insensibles aux courants, aux tempêtes, ils offrent supports et abris à de nombreuses espèces marines. La roche permet bien sûr l’accrochage de toutes sortes d’algues, mais pas seulement ! Des animaux fixés, comme les gorgones, les anémones coloniales dorées ou les éponges, prennent le relais dans les zones d’ombre ou en profondeur. Grâce à ces animaux fixés, souvent très colorés, grâce aussi aux poissons qui s’y concentrent, les fonds rocheux sont un terrain privilégié d’observation et de découverte pour ceux qui pratiquent la plongée.
 
 
Au large
Loin d’être vide, le grand large est un milieu de vie, c’est même le plus vaste de la planète ! Mais pour y subsister, il faut s’adapter à cet espace en trois dimensions, sans cachettes. Transparence ou coloration argentée, vie en banc ou nage rapide sont autant de moyens d’y survivre. Les organismes les plus nombreux restent souvent invisibles : ils constituent le plancton, ensemble des êtres vivants qui dérivent au gré des courants. Les méduses comptent parmi les rares animaux planctoniques visibles à l’oeil nus. Au large, on trouve aussi des espèces telles que le grand dauphin ou la tortue Caouanne.
 
Un centre de réacclimatation pour les tortues en convalescence
Le Centre d’Etudes et de Sauvegarde des Tortues en Méditerranée existe depuis 2003 et est situé au Grau du Roi dans les locaux du Seaquarium. Il étudie et soigne les trois espèces de tortues marines vivant en Méditerranée, dont la plus connue est la tortue Caouanne. Menacées d’extinction, plus de 300 ont été soignées depuis 2003. En 2014, un espace dédié à la réacclimatation des tortues blessées a été créé à La Grande Motte dans l’étang du Ponant. Après avoir été soignées au centre de soins, les tortues rejoignent cet espace en milieu naturel pour récupérer des forces et avoir ainsi plus de chances de survivre lorsqu’elles seront relâchées en mer. Dans ces conditions elles se réacclimatent progressivement à leur milieu naturel, récupèrent la masse musculaire perdue pendant la durée des soins tout en étant assurées de survivre, dans le cas où elles ne parviendraient pas à se nourrir immédiatement toutes seules.
Contact

Coordonnées

MAIRIE
Place du 1er Octobre 1974
34280 LA GRANDE MOTTE


Téléphone : 0467290303
E-Mail : protocole@lagrandemotte.fr
infolettre

Organismes en charge du label
COMITÉ RÉGIONAL DU TOURISME ET DES LOISIRS OCCITANIE
tourisme-occitanie.com
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